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Témoignages

My name is Ethan. I attended Lycée International Montessori for 8 years and completed my scholary education graduating with the French Baccalaureate. Not only was the school extemely benifical from an educational stand point, but it also helped me enormously in developing my self-confidence and preparing me for the next educational stages that I am currently in (studying cinema at Royal Holloway, University of London).

 

The heart and soul of the school is Sylvie d'Esclaibes, who co-founded the school intending to accept creative differences rather than stifle them. She has always encouraged my creative abilities (being a musician), and has always left her door open to any personal problems I had. Furthermore, Sylvie always put students first, and never comprimised the foundations on which the school was built: accepting that every pupil is different and in so doing giving every student individual focus and attention.

 

Complying to the regulatory French educational system was not comprimised in the slightest. By use of putting on theatre shows as well as organising class trips, Sylvie found a way to make school a place in which you wanted to go to, rather than had to go to. I cannot stress enough the impact Sylvie d'Esclaibes has had on both my education and life, teaching me core values and promoting my creativity.

Ethan

J’ai découvert le lycée International Montessori relativement tard, en effet je ne suis arrivé qu’en classe de Première. Et pourtant en deux années cette école a su faire la différence qui, j’en suis convaincu, a joué un rôle majeur dans la réussite de mes études post bac.

 

Auparavant j’étais scolarisé au Lycée Notre Dame, j’y avais un bon niveau mais plus les années passaient et plus j’étais révolté par le mode d’enseignement. J’aurais pu continuer dans ce système ou les élèves sont tirés vers le bas pour connaître leur point de rupture, au sein d’un enseignement impersonnel dans une classe de 40 élèves avec des professeurs qui ne sont pas concernés par la réussite de leurs élèves. Mais j’ai refusé d’accepter ce système et commencé à chercher d’autres alternatives.

J’ai découvert le concept crée par Sylvie d’Esclaibes à travers le Lycée International Montessori et j’ai tout de suite adhéré à sa vision. Avant même mon inscription elle a fait en sorte que je sois intégré dans cet endroit que je considère comme bien plus qu’une simple école.  Selon moi elle a réussi à réaliser l’idée que je me faisais de l’école. Un apprentissage personnalisé grâce à un effectif réduit, un accent sur l’apprentissage des langues, le tout dans une atmosphère ou les professeurs sont là pour nous aider.

Dès mon arrivée, je n’étais pas qu’un élève parmi les autres. Sylvie s’est beaucoup intéressée à mon parcours et ce à quoi j’aspirais. Ensemble nous avons mis en place un programme qui me permettrait d’atteindre mes objectifs. J’avais étudié le latin depuis la 5ème, Sylvie a mis en place des cours pour que je puisse passer cette option au Baccalauréat. J’avais besoin d’acquérir un très bon niveau d’anglais, elle m’a donné la possibilité de suivre plus de cours d’anglais. Tout au long de ces deux années, elle était véritablement mon point de contact au sein de l’école pour n’importe laquelle de mes questions ou demandes. Cette succession d’éléments m’a porté vers la réussite telle que je ne l’aurai pas connue dans un autre établissement. A l’issue de la terminale, j’ai été reçu en classe préparatoire (Maths Sup/Maths Spé) puis j’ai intégré une école d’ingénieur pour enfin réussir le concours pilote de ligne qui était mon but premier. Je pense sincèrement que cette école a joué dans ma réussite scolaire, car en plus d’un bon niveau, elle m’a apporté une nouvelle vision des études, qui a su me motiver et me faire tenir la pression que l’on peut subir en classe préparatoire parisienne.

 

Je pense sincèrement que Sylvie d’Esclaibes est l’âme de cette école, notre relation relève désormais de l’amitié et je viens régulièrement lui rendre visite. J’ai rarement vu quelqu’un d’autant investit dans quelque chose et personne ne l’est autant qu’elle pour cette école. Ses années de sacrifices et de travail ajoutées à la place qu’elle tient aux yeux des élèves en font quelqu’un d’indissociable à l’école.  

Maxime

Bonjour, je suis Antoine Bizet et j’ai 18 ans. J’étais au lycée Montessori l’année dernière en Terminale S, et je n’aurais sûrement jamais eu mon bac S si ma grand-mère ne m’avait pas conseillé cette école dont elle avait entendu parler dans le journal.

 

Il s’agit plus d’une grande maison et d’une grande famille que d’un véritable lycée. En fait le système Montessori permet d’éviter tous les côtés négatifs des établissements scolaires, mis à part le travail bien sûr. Il s’adapte très bien aux élèves au profil particulier, et permet a beaucoup d’élèves en difficulté de retrouver un niveau correct grâce au soutien que leur donnent les professeurs, aussi bien au niveau du mental que du travail.

 

Pour ma part j’ai une passion (le VTT) qui me prend beaucoup de temps à cause des compétitions, ce qui m’empêchait de travailler correctement quand j’étais dans mon ancien lycée (Saint Jean Hulst à Versailles).

Lorsque j’étais au Lycée International Montessori, je savais que je pouvais aller travailler le weekend ou le mercredi après-midi dans l’établissement, de plus les élèves s’entraident toujours alors que chez moi il m’arrivait souvent de bloquer sur quelque chose pendant un exercice, ce qui m’empêchait de finir mon travail.

 

J’ai également pu m’arranger avec les professeurs pour décaler mes bacs blancs les week-end où j’allais en compétition, et ces aménagements m’ont permis de très bien réussir mon année, aussi bien au niveau scolaire que sportif ! C’est pourquoi je tiens à remercier Sylvie d’Esclaibes pour avoir fondé cette école, et à toute l’équipe enseignante de Montessori pour m’avoir suivi même dans les moments difficiles et m’ont ainsi permis de finir ma scolarité dans les meilleures conditions possibles."

Antoine Bizet

Après une école primaire réussie avec succès, je suis arrivé au Lycée Hoche. Depuis mon entrée en 6° et jusqu’à Pâques de mon année de 5°, mes résultats scolaires étaient sur la pente descendante. Je n’avais plus envie d’aller à l’école, plus envie d’apprendre. Après s’être renseignés mes parents ont décidé de m’emmener  visiter une école. Une école dont la pédagogie était différente et devait me permettre de m’épanouir. Je n’avais à ce moment là aucune envie d’y aller, aucune envie de quitter mes « amis Â» versaillais. 

Premier rendez-vous (un peu forcé) un mercredi après midi. Nous avions rendez-vous avec la directrice et fondatrice de cette école, Sylvie d’Esclaibes. Après le silence des premières minutes et au fur et à mesure que Sylvie me présentait son école et sa pédagogie, je commençais à m’ouvrir à la possibilité de changer d’établissement scolaire. Après une soirée de réflexion, je décidais, avec mes parents, de m’inscrire mais gardais en moi une certaine appréhension. 

Une fois cette période passée, et avec le recul, je suis convaincu que ma rencontre avec Sylvie d’Esclaibes à été un des événements les plus bénéfiques de ma vie. A chaque passage difficile de ma vie, elle a su être présente et me donner toujours de bons conseils. A chaque fois ou j’ai eu besoin de parler à quelqu’un, que ce soit pour mon orientation scolaire ou pour des choix tout autres, j’ai toujours eu la chance de pouvoir bénéficier de son expérience, de sa confiance et surtout de son écoute. Connaissez-vous beaucoup de directeurs d’écoles qui sont prêts à vous accueillir chez eux le premier jour d’école parce que vous devez attendre votre bus une heure ? Connaissez-vous beaucoup de directeurs d’écoles, qui sont toujours à votre écoute et qui à chaque moments de votre vie sont présents pour vous accompagner à travers toutes vos épreuves ? Si aujourd’hui je suis certain d’une chose, c’est que sans ce premier rendez-vous, sans Sylvie, sans sa pédagogie et son école je serai, comme je l’étais en arrivant, en échec scolaire. Grâce à Sylvie, j’ai obtenu un premier baccalauréat S avec mention alors que tous mes professeurs rejetaient ma demande de passage en Première S. Grâce à Sylvie, qui a mis à ma disposition les outils pour réussir et bien grandir, j’ai obtenu un second baccalauréat (ES) avec mention également. Mais surtout grâce à Sylvie, j’ai grandis, j’ai repris confiance en moi et en mes capacités. Aujourd’hui ma vie, mon équilibre et mon bien être je lui dois en grande partie. 

Aujourd’hui en deuxième année d’Ecole de Commerce en alternance, et en étant complètement extérieur à l’Ecole qu’elle a créé puisque parti il y a 4 ans, je reste convaincu que sans elle, son école ne serait pas la même

Thomas

Lorsque je suis arrivé a l’École Montessori au début du mois d’octobre de l’année 2006, j’étais un élève déstabilisé par un passé familial assez touchant, et c’est cette année là que j’ai rencontré Mme Sylvie D’Esclaibes. Très vite Sylvie D’Esclaibes m’a ouvert les portes de son école pour que je puisse continuer mon année de Première et de Terminale à Montessori. Venant d’une institution privée et catholique (l’Institut Notre Dame de St Germain en Laye), je me suis senti dans un environnement très différent mais surtout tres agréable où je voyais des sourires sur le visage des élèves. Dès le premier jour de mon arrivée, Sylvie m’a expliqué le fonctionnement de son école sur un point du vue éducatif mais aussi moral. En effet, grâce à l’aide de Sylvie D’Esclaibes et de son ouverture d’esprit, moi-même, mais aussi plusieurs de mes camarades de classe, anciens et nouveaux, avons été préparés aux épreuves tant redoutées du Baccalauréat. Pour moi, le baccalauréat était un objectif primordial mais je ne connaissais pas la difficulté et le niveau de préparation requis pour avoir accès à ce passeport. Apres un long passage à l’IND, de la 9e (CE2) à la 1ère, je pensais être déjà prêt à passer cet obstacle, mais avec une éducation de mes parents très internationale, Britannique et Ibérique, je ne m’étais jamais intégré dans une institution classique avec des personnes à l’ego surdimensionné. C’est alors que j’ai entendu parler de l’École Montessori à Bailly, une école où beaucoup de bien se disait d’elle avec un corps professoral compétant, surtout chez les anciens professeurs qui sont au point sur l’enseignement de l’école, et une direction toujours à l’écoute de ses élèves, ce qui est tres rare dans nos écoles en France. Sylvie D’Esclaibes a toujours eu un lien avec tous ses élèves, des plus petits au plus âgés et a su nous ouvrir l’esprit sur le monde d’aujourd’hui tout en développant nos propres capacités et en nous encourageant sous toutes formes. Grâce a elle, nous avons pu mettre en avant plusieurs éléments essentiels de la vie scolaire et sociale et c’est ainsi que tous les élèves, quelques soit leur problèmes, mentaux, physiques, familiaux, etc., ont su bien vivre ensemble. Je suis arrivé dans une année tres importante pour mon éducation, l’année du Bac de Français, SVT et du TPE. En tant que délégué de ma classe, en Première et Terminale, j’ai souvent eu de longues discussions avec Sylvie D’Esclaibes afin de trouver des solutions pour avoir un maximum de réussite dans nos examens. Souvent elle a mis en place des activités de révision et a ouvert l’école les fins de semaine pour que nous puissions nous retrouver en groupes et étudier ensemble, au lieu d’être seul chez soi. De plus c’est lors de moments les plus intenses pour les élèves qu’elle a su relevé le défi nous encourageant et en organisant des activités de groupes et de motivation, comme l’on peut retrouver ce genre d’activités en étude de premier et second cycle universitaire mais aussi en entreprise.  Je ne garde que de bons souvenir de mes deux années passés à l’école Montessori, et sans les efforts de Sylvie D’Esclaibes, je ne serais jamais allé dans l’université de mes rêves, l’Université McGill a Montréal. Connaissant les différents systèmes universitaires, Français, Britanniques et Américains, Sylvie D’Esclaibes a su m’aider directement avec les processus d’inscription, ce qui ne se fait pas du tout dans les autres lycées français. Les systèmes sont complètement différents et grâce à elle, la transition France Canada, s’est très bien faite. Aujourd’hui je suis étudiant de 3e année à l’Université Concordia, toujours à Montréal, faisant un Bachelor d’Économie et d’Espagnol, qui aurait été tres difficile sans l’obtention du Diplôme Cervantes, que Sylvie m’a fortement recommandé de passer avant de partir à l’université. En  plus d’être étudiant, je travaille chez « Juste pour rire Â», entreprise de production théâtrale. C’est dans ma vie de tous les jours, à l’université et au travail, que je reprend des fondements de l’éducation et de l’enseignement établis par Mme D’Esclaibes, une directrice dont je me souviendrais toujours pour les efforts acharnés qu’elle a faits pour les élèves de l’École Montessori, ses élèves. 

Edward

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